Langues vernaculaires et bibles genevoises
modifié le: 2011-06-06
Après avoir fait un état de la question des rapports entre orthographe et Réforme, orthographe et imprimeurs réformées (Baddeley 1993), Max Engammare justifiera l'étude des bibles genevoises entre 1537 et 1588. Dans un second temps il abordera trois questions de méthode :
1.Détermination d'un corpus de textes à éditer.
2.Détermination des niveaux de langue de l'analyse.
3.Détermination du rôle des officines par rapport aux auteurs et aux libraires/imprimeurs.
Max Engammare, Université de Genève
Lille, 30 avril 2010